| Chœur – 1. [Mer de Baal, Mer de Mammon] |
| Chœur – 2. [Avec ceux-là qui, s’en allant, laissent aux sables leurs sandales] |
| Chœur – 3. [Innombrable l’image, et le mètre, prodigue] |
| Chœur – 4. [Et c’est à Celle-là que nous disons notre âge d’hommes] |
| Chœur – 5. [Sur la Ville déserte, au-dessus de l’arène, une feuille errante dans l’or du soir] |
| Dédicace |
| Invocation – 1. [Et vous, Mers, qui lisiez dans de plus vastes songes] |
| Invocation – 2. [Je vous ferai pleurer, c’est trop de grâce parmi nous] |
| Invocation – 3. [Poésie pour accompagner la marche d’une récitation en l’honneur de la Mer] |
| Invocation – 4. [Ainsi louée, serez-vous ceinte, ô Mer, d’une louange sans offense] |
| Invocation – 5. [Or il y avait un si long temps que j’avais goût de ce poème] |
| Invocation – 6. [Et c’est la Mer qui vint à nous sur les degrés de pierre du drame] |
| Strophe – 1. Des Villes hautes s’éclairaient sur tout leur front de mer |
| Strophe – 2. Du Maître d’astres et de navigation |
| Strophe – 3. Le Tragédiennes sont venues |
| Strophe – 4. Les Patriciennes aussi son aux terrasses |
| Strophe – 5. Langage que fut la Poétesse |
| Strophe – 6. Et cette fille chez les Prêtres |
| Strophe – 7. Un soir promu de main divine |
| Strophe – 8. Étranger, dont la voile |
| Strophe – 9. Étroits sont les vaisseaux |
| Strophe – 9.1. [Étroits sont les vaisseaux, étroite notre couche] |
| Strophe – 9.2.1. [Amour, amour, qui tiens si haut le cri de ma naissance] |
| Strophe – 9.2.2. [Au cœur de l’homme, solitude. Étrange l’homme sans rivage, près de la femme, riveraine] |
| Strophe – 9.3.1. [Mes dents sont pures sous ta langue. Tu pèses sur mon cœur et gouvernes mes membres] |
| Strophe – 9.3.2. [Amant, je n’élèverai point de toiture pour l’Amante] |
| Strophe – 9.4.1. [Plainte de femme sur l’arène, râles de femme dans la nuit] |
| Strophe – 9.4.2. [Vaisseau qui s’ouvre sur sa quille, illuminé de braise e d’or] |
| Strophe – 9.5.1. [A ton côté rangée, comme la rame à fond de barque] |
| Strophe – 9.5.2. [Solitude, ô cœur d’homme! Celle qui s’endort à mon épaule gauche] |
| Strophe – 9.6.1. [Un peu avant l’aurore et les glaives du jour] |
| Strophe – 9.6.2. [Armes rompues à fond d’aurore – ô splendeur! ô tristesse!] |
| Strophe – 9.7. [L’hiver venu, la mer en chasse, la nuit remonte les estuaires] |
