Poesie

Nome
Gaspard Hauser chante
[Ah! Seigneur, qu’ai-je?]
[Beauté des femmes, leur faiblesse]
[Bon chevalier masqué]
[C’est la fête du blé]
[Certes, si tu le veux mériter]
[Désormais le Sage, puni]
[Du fond du grabat]
[Écoutez la chanson]
[Et j’ai revu l’enfant unique]
[Et pour récompenser]
[Il faut m’aimer! Je suis Ces Fous]
[Il faut m’aimer! Je suis l’universel Baiser]
[J’ai répondu: Seigneur]
[J’avais peiné comme Sisyphe]
[Je ne sais pourquoi]
[Je ne veux plus aimer]
[L’âme antique était rude]
[L’échelonnement des haies]
[L’ennemi se déguise en l’Ennui]
[L’espoir luit comme un brin]
[L’immensité de l’humanité]
[La bise se rue à travers]
[La grande ville!]
[La mer est plus belle]
[La tristesse, la langueur du corps humain]
[La vie humble aux travaux]
[Le ciel est, par dessus le toit]
[Le son du cor s’afflige vers les bois]
[Les chères mains]
[Les faux beaux jours ont lui tout le jour]
[Malheureux! Tous les dons]
[Mon Dieu m’a dit]
[Né l’enfant des grandes villes]
[Non. Il fut gallican]
[Ô mon Dieu, vous m’avez blessé]
[O vous, comme un qui boite au loin]
[On n’offense que Dieu]
[Or, vous voici promus]
[Parfums, couleurs, systèmes, lois!]
[Parisien, mon frère]
[Pauvre âme, c’est cela!]
[Petits amis]
[Pourquoi triste]
[Prince mort en soldat]
[Puis, va! Garde une fois]
[Qu’en dis-tu, voyageur]
[Sagesse d’un Louis Racine]
[Sainte Thérèse veut]
[Seigner, j’ai peur]
[Seigneur, c’est trop!]
[Seigneur, j’ai peur]
[Tournez, tournez]
[Toutes les amours de la terre]
[Un grand sommeil noir]
[Va ton chemin]
[Voix de l’Orgueil]
[Vous êtes calme, vous voulez un vœu discret]
[Vous reviendrez]
[Vous voilà, vous voilà]